Tectonic shear zones in the London Clay Formation

Abstract

Subhorizontal shear zones observed in the London Clay Formation are described. The physical properties of the shear zones are examined, and it is demonstrated both that they are of tectonic origin, the result of bedding plane slip during minor folding, and that they were probably formed before there had been any significant erosion of the London Clay or later overlying formations. The occurrence of the shear zones is reviewed, and it is shown that similar features have been recorded in other areas to the west of London, and it seems likely that they will be encountered elsewhere in the London basin, wherever minor folding occurs. The shape of the London Clay Formation—Reading Formation interface appears to give an indication of the degree of folding, and hence of the possible occurrence of shear zones. The displacements of the shear zones examined are believed to be small, perhaps only a few centimetres, and consequently the strength along the shear zones is probably slightly above the true large-displacement residual, although it is suggested that the drained strength of the shear zone should be assumed to be close to the field residual strength. L'article décrit les zones de cisaillement subhorizontales observées dans la formation argileuse de Londres. Les auteurs examinent les pro-priétés physiques des zones de cisaillement et montrent qu'elles sont d'origine tectonique, étant le résultat d'un glissement intercouche survenu pendant un plissotement, et qu'elles se sont probablement formées avant toute érosion sensible de Pargile londonienne on de formations sus-jacentes ultérieures. Les auteurs examinent la venue des zones de cisaillement et montrent que des caracteristiques semblables ont été relevées dans d'autres régions à 1'ouest de Londres et qu'il est probable qu'on en trouvera d'autres dans toute autre zone de plissotement du bassin de Londres. La configuration de 1'interface entre la formation argileuse de Londres et la formation de Reading semble donner une indication du degré de plissement et, par conséquent, de la venue possible de zones de cisaillement. On pense que les déplacements des zones de cisaillement examinées sont faibles, pas plus de quelques centimétres peut-être. En conséquence, it et probable que la résistance le long des zones de cisaillement est légérement supérieure au véritable résidu des grands déplacements, bien que certaines indications permettent de supposer que la résistance drainée de la zone de cisaillement se rapproche de la résistance de champ résiduelle.