1. Valérie Desgroseillers, Nicolas Vonarx, Anne Guichard et Bernard Roy, dir. La santé communautaire en 4 actes. Repères, acteurs, démarches et défis (Québec : Les Presses de l’Université Laval, 2016), 343.
2. Didier Fassin, « Revisiter la santé communautaire », dans Desgroseillers et al. La santé communautaire, sect. 16.
3. Gouvernement du Québec, Rapport de la commission d’enquête sur la santé et le bien-être social. La situation actuelle, vol. 4, tome 4 (Québec : Éditeur officiel du Québec, 1970). https://www.bibliotheque.assnat.qc.ca/DepotNumerique_v2/AffichageNotice.aspx?idn=69038 ; Louise Hamelin Brabant, Claudia Fournier et El Kebir Ghandour, « La santé communautaire comme notion et pratique distinctes de la santé publique », dans Desgroseillers et al. La santé communautaire, 59-64 ; Gisèle Carroll et Jacqueline Roy, « Introduction à la santé communautaire », dans Pratiques en santé communautaire, dir. Gisèle Carroll (Montréal : Les Éditions de la Chenelière, 2006), 1-11.
4. Dans ce texte, nous avons privilégié le terme « garde-malade » plutôt qu’ « infirmière ». Bien que les deux termes soient utilisés de manière interchangeable dans les bulletins, l’AGMCL a conservé son titre de « gardes-malades » jusqu’aux années 1960. Mentionnons aussi que « garde-malade » a été utilisé plus longtemps au Québec parce qu’il signifiait veiller au chevet des malades et que les infirmières québécoises ont majoritairement offert des services privés. Voir Robert Germain, Le mouvement infirmier au Québec : 50 ans d’histoire (Québec : Les Éditions Bellarmin, 1985), 26-27.
5. Emmanuel Mounier, Le personnalisme (Paris : Presses universitaires de France, 1950), 139.