1. Sehr charakteristisch äussert Arloing: “(Les virus, Paris 1891, p. 285). Quand le père est gúeri d'une maladie virulente lorsqu'il participe à l'acte de la fécondation, il peut encore transmettre une partie de l'immunité, dont il jouit. L'ovule mâle, souche de l'élément fécondant, a été dynamiquement modifié à la fin de la maladie du père de la même manière, que l'oeuf chez la femelle; par consequent, il apporte dans l'ovule, en y pénétrant, une substance vaccinée, qui se répartira dans toutes les cellules de l'embryon et du foetus. Il ne faut pas oublier, en effet, que le spermazoide entre dans l'oeuf et se confond avec le pronucléus femelle, que les filaments chromatiques succédants au pronucleus se répartissent également entre les noyaux des deux premierès cellules, au début de la segmentation de l'ovule fécondé, et ainsi de suite, de sorte que tous les éléments du jeune sujet portent en eux un atome de protoplasma resistant associé à une portion plus considérable provenant de a mère.
2. Ich möchte hierzu bemerken, dass diese Anschauung in der menschlichen Pathologie nur in einem Falle in Betracht kam, nämlich bei dem sog. Profeta'schen Gesetze, laut dem die gesunde Nachkommenschaft syphilitischer Eltern auch ihrerseits gegen diese Affection geschützt seien. Dieses Gesetz wird jedoch von der Mehrzahl der Syphilidologen als ganz unbewiesen, ja bei rein paterner Syphilis nicht einmal als wahrscheinlich angesehen.
3. Deutsche medicinische Wochenschrift. 1891. Hft. 8.
4. Es steht damit die Erfahrung im Einklange, dass ein Thier, je empfänglicher es für ein Gift ist, um so leichter zu hohen Graden der Immunität gebracht werden kann.
5. Chauveau,Compt. rendus. T. XCL.