Abstract
Les chercheurs reconnaissent que l’adoption de comportements spécifiques d’autosoins peut freiner, modifier ou retarder la progression de la maladie coronarienne. L’infirmière doit assumer un rôle de facilitatrice de comportements de santé pour aider la personne atteinte d’une maladie coronarienne à adopter de saines habitudes de vie. Pour ce faire, l’infirmière doit comprendre la capacité fonctionnelle du coeur chez la personne atteinte d’une maladie coronarienne afin de la guider vers un niveau d’activités physiques efficace et sécuritaire. Elle a la responsabilité de connaître les différents comportements que la personne doit adopter afin de maintenir ou d’améliorer sa santé cardiaque, par exemple, le non-usage du tabac. L’infirmière observe alors la personne aux prises avec des changements afin de déterminer son évolution à travers les stades comportementaux de manière à mieux adapter ses interventions.
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