Abstract
Cet article est consacré à l’essai « Un truc soi-disant super auquel on ne me reprendra pas », dans lequel David Foster Wallace rend compte de son expérience de croisiériste à bord d’un méga-paquebot. Il analyse plus particulièrement les liens que Wallace tisse entre le navire de croisière et le parc, pensé à la fois comme un lieu clos aménagé à des fins de divertissement, et comme un espace flottant mortifère où s’opère un contrôle insidieux des touristes.
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