Affiliation:
1. Doctorante et assistante de recherche, Groupe de sociologie politique européenne (GSPE-Prisme), Université de Strasbourg
Abstract
Le New Labour a fait de l’ouverture au « choix » l’un des principaux axes de sa réforme du système de santé britannique. Si cette ouverture a été bien documentée, peu de travaux se sont intéressés à l’impact de cette réforme sur la politique de santé mentale. L’objectif de l’article est donc de présenter cette réforme mettant en oeuvre des choix élargis pour les usagers des services de santé mentale. L’hypothèse centrale de l’article est que l’introduction inachevée du « choix » pour les usagers des services de santé mentale cristallise les difficultés et les paradoxes de la réforme du New Labour.
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