Abstract
Dans la plupart des pays africains, une bonne partie des activités socio-économiques se déroule dans le secteur informel et est financée, par conséquent, par des sources de crédit non officielles (usure, tontine, etc.).
La présente étude de cas porte sur la tontine qui est une pratique courante en milieu rural et surtout urbain où le taux de monétarisation est relativement plus important. Ces structures apparaissent aujourd’hui indispensables eu égard à leur contribution dans la mobilisation de l'épargne et la distribution de crédit pour les couches à revenus modestes. Elles suscitent des espoirs réels dans une société où les structures financières modernes répondent encore imparfaitement aux besoins de la grande majorité de la population.
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