1. Michel Huglo, “Abélard, poète et musicien,” Cahiers de civilisation médiévale, 22 (1979), 349–361 (pp. 356–357): “Le planctus ne constitue pas, de par la prosodie, un genre particulier: il peut tout aussi bien être composé en mètres classiques ou suivre les règles de la poésie rythmique basée sur l’accentuation du mot latin. en somme, c’est un choix parmi divers themes élégiaques … qui constituent l’élément formel du planctus.”
2. Nicolas Bell, “Les planctus d’Abélard et la tradition tardive du planctus,” in Pierre Abélard: Colloque international de Nantes, ed. Jean Jolivet and Henri Habrias (Rennes: Presses universitaires de Rennes, 2003), pp. 261–266, (p. 262).
3. Musicological Studies, 78;A Buckley,2003
4. Also Lorenz Weinrich, “Peter Abaelard as Musician—I,” The Musical Quarterly, 55 (1969), 295–312 (p. 305): “Abaelard’s planctus deserve a significant position in musical history, filling the gap between the Latin liturgical sequence outside the Mass and the French secular lai.”
5. See Caroline Cohen, “Les elements constitutifs de quelques planctus des Xe et XIe siècles,” Cahiers de civilisation médiévale, 1 (1958), 83–86.