Author:
Feigenbaum Anna,Weissmann Daniel
Abstract
Background This article presents a case study about the role of data in the CATO Institute’s Police Misconduct Reporting Project and reflects on what constitutes police violence.Analysis Augmenting this data aggregation work, the article turns to additional data projects focused on recording police crime and misconduct to gather a broader understanding of incidents of police violence beyond acts that cause death. Conclusion and implications It is only when we look at data on acts of violence that occur when an officer is on duty and off-duty, with or without a firearm, that a clearer sense of the traumatic cycle of policing can be understood. This way of looking at police data requires both broader practices of “copwatching,” as well as a broader definition of what counts as violence.Contexte Cet article présente une étude de cas sur le rôle des données dans le Police Misconduct Reporting Project (Projet sur le recensement des inconduites policières) du CATO Institute et offre une réflexion sur ce qu’est la violence policière.Analyse L’article complète cette étude de cas en examinant d’autres projets semblables portant sur les inconduites et crimes policiers afin d’en arriver à une meilleure compréhension d’instances de violence policière au-delà d’actions causant la mort.Conclusion et implications C’est seulement quand on examine des données sur les actes violents ayant lieu quand un policier est de service ou non, avec ou sans arme à feu, qu’on peut mieux comprendre le cycle traumatique relatif au travail policier. Cette manière de considérer les données sur la police requiert à la fois des pratiques plus englobantes de surveillance des policiers et une définition plus large de ce qu’est la violence.