Abstract
With renewed interest for research involving Indigenous peoples, nations, and communities following the height of the Idle No More movement and, more recently, the release of the Indian Residential School Truth and Reconciliation Commission’s final report, this research in brief argues that there is a need for researchers to recognize the history of the Western academy’s relationship with Indigenous peoples and its legacy of contributing to colonization. As a result, communication scholarship should seek to embrace and even privilege Indigenous knowledges in research, when appropriate, and accept research goals of Indigenous social justice based on decolonizing methodologies. The collaborative nature of research means that there is ample opportunity to speak up when research fails to include Indigenous ways of knowing.À la suite du mouvement Idle No More et, plus récemment, de la publication du rapport final de la Commission de vérité et réconciliation du Canada sur les écoles résidentielles autochtones, on remarque un intérêt renouvelé pour la recherche sur les peuples, nations et communautés autochtones. Dans ce contexte, ce Coup d’œil sur la recherche soutient que les chercheurs ont besoin de mieux reconnaître l’histoire de la relation entre les peuples autochtones et l’université occidentale et la participation de celle-ci à leur colonisation. Dans les circonstances, la recherche en communication devrait chercher à inclure et même privilégier les savoirs autochtones quand il est pertinent de le faire, et accepter les objectifs visés par la justice sociale autochtone fondée sur des méthodologies décolonisatrices. La nature collaborative de la recherche est telle qu’il y a maintes occasions où l’on pourrait intervenir aux moments où celle-ci oublie les modes d’apprentissage autochtones.
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