Abstract
Alors qu’elles ont marqué la fin de l’ère des humanités classiques et la domination du paradigme scientifique sur l’ensemble des structures d’enseignement, les nouvelles facultés des Lettres et Sciences humaines constituent un angle mort des travaux sur les mobilisations réformatrices précédant la loi Faure (1968). Cet article renseigne le point de vue de leurs enseignants, en portant la focale sur la province, catégorie longtemps marginalisée dans les recherches en sciences sociales sur les universités.