Abstract
La fin de vie est une notion anxiogène et difficilement représentable pour qui s’y trouve confronté. Elle peut concerner non seulement la personne âgée, mais également tout sujet, enfant comme adulte, qui souffre d’une maladie dégénérative, d’un handicap lourd ou d’une pathologie incurable. En ce sens, la fin de vie croise la question de la dépendance physique du sujet, de la dépendance aux techniques médicales et à autrui, avec celle du respect de son autonomie, de ses choix, même lorsque ces derniers se rapprochent parfois d’une demande d’un « droit de mourir ».
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Lamarre (3e éd.)
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