Abstract
Si l’affect est un signe de représentation non encore advenue, est-ce que l’on pourrait dire que dans l’analyse, la vérité est une représentation-but ? La vérité serait-elle dans la cure un moyen ou bien constituerait-elle un objectif, fruit de la relation transférentielle ? Ou les deux à la fois ? Quant à l’affect, transféré sur l’analyste, peut-on le voir à l’instar du rêve et des symptômes comme la voie royale qui mène directement à la vérité, à la réalité psychique ? L’affect est-il fiable ?
Subject
Psychiatry and Mental health,Clinical Psychology
Reference15 articles.
1. Bull SPP 1 Bonard O. (2023). Les avocats du Ça. Un journal d’analyste et son viatique métapsychologique. : 155-194.
2. Bull SPP 2 Brousselle A. (2023). Quand l’affect ment et guérit : construction et paranoïa. : 55-61.
3. Vie et mort des affects . Chabert C. (2016). Transferts d’affects. Dans J. André (dir.) : 15-38 Paris, Puf.
4. Vie et mort des affects . Coblence F. (2016). L’affect ment-il ? Dans J. André (dir.) : 123-134 Paris, Puf.
5. OCF.P Freud S. (1900a [1899]/2003). L’interprétation du rêve. , IV. Paris, Puf.