Abstract
Après avoir mené une revue de littérature sur les spécificités du lien d’emprise dans la clinique des violences conjugales, nous proposons, dans cet article, de nous interroger sur le maniement du transfert en psychothérapie en milieu carcéral. Pour ce faire, nous nous appuierons sur le cas d’un patient incarcéré pour homicide sur sa femme. Nous mettrons en perspective les quatre temps d’emballement du lien conjugal violent avec les enjeux transférentiels, ce qui nous permettra de dégager des pistes psychothérapeutiques.
Subject
Psychiatry and Mental health,Clinical Psychology