Abstract
En s’appuyant sur les résultats d’une recherche sociologique de niveau master portant sur le vécu émancipatoire des gérants et permanents des lieux de vie et d’accueil, cet article met en lumière le fonctionnement des sociétés coopératives et participatives ( scop ) dans le champ de la protection de l’enfance en France. Il permet d’interroger les effets de la gouvernance horizontale et coopérative sur les conditions de travail des éducateurs et d’ouvrir un questionnement critique de la forme associative dans sa fonction de reproduction des modèles de gouvernance hiérarchique.