Abstract
Certains états du corps nécessitent des soins intensifs et urgents. Ces états de grande précarité vitale posent la question de la subjectivité et de l’intersubjectivité entre équipes soignantes, malades et familles. Quels positionnements les psychologues cliniciens peuvent-ils adopter pour penser et accompagner ces cliniques extrêmes aux limites de la vie et de la mort ?