Abstract
La maladie grave en général, et le cancer en particulier, fait trauma au sens où elle confronte le sujet à sa propre mort et l’immerge dans un univers médical ultra-technicisé et désubjectivant. À chaque phase de la maladie, le sujet est confronté à des vécus extrêmes auxquels il va devoir donner du sens et qu’il va devoir élaborer.