Abstract
Faut-il s’alarmer de la jungle inextricable des produits du marché vinicole ? Non sans doute, car, comme le marché de l’art, celui du vin a résisté à la standardisation de la qualité, laissant coexister deux régimes de commercialisation au fonctionnement assez radicalement différents, mais néanmoins en interaction : un régime classique de standardisation des biens et un autre plus proche du marché de l’art.
Reference4 articles.
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