Abstract
Après avoir rappelé un certain nombre d’études montrant que l’enfant autiste ressent la douleur physique mais a des modalités non habituelles d’expression de cette douleur, l’auteur se penche sur la question de la souffrance psychique si facilement déniée par les adultes qui côtoient les enfants autistes. À la lumière des réflexions freudiennes, la réflexion se centre sur la différenciation entre angoisse et douleur.
Subject
Anesthesiology and Pain Medicine