1. Des parties de cet article ont fait l’objet d’une publication précédente : Frédéric Mercure-Jolette, « La planification de l’urbanisation ou le Montréal en devenir des premiers urbanistes professionnels », dans Harold Bérubé et Stéphane Savard, dir. Pouvoir et territoire au Québec depuis 1850 (Québec : Septentrion, 2017), 161–196.
2. Françoise Choay, La règle et le modèle. Sur la théorie de l’architecture et de l’urbanisme (Paris : Éditions du Seuil, 1996), 19. Sur le contexte montréalais, voir André Lortie, dir. Les années 1960, Montréal voit grand (Montréal : Centre canadien d’architecture, 2004).
3. Cité dans André Boisvert, Aménagement et urbanisme au Québec (Québec : GID, 2014), 77.
4. Boisvert, ibid. ; Harold Bérubé, Unité, autonomie, démocratie. Une histoire de l’Union des municipalités du Québec (Montréal : Boréal, 2019), 183. Bien sûr, La Haye n’est pas le seul à avoir tenté de moderniser la pratique de l’urbanisme au Québec dans les années 1950 et 1960. Formé à Paris, Édouard Fiset (1910–1994) est aussi un acteur important qui mériterait qu’on s’attarde davantage sur lui.
5. Nicole Valois, « L'architecture de paysage moderne du campus de l'Université de Montréal », Cahiers de géographie du Québec 56, no 158 (2012) : 343-372