1. Thanks to Hubert Bolduc-Cloutier, Danielle Fosler-Lussier, Hannah Lewis, Colin Roust, and the Journal's anonymous readers for their valuable feedback on various versions of this article, as well as to those who commented on versions read in 2015 at the conference “Music and Realism” at the University of Birmingham, UK, and in 2016 at the annual meeting of the American Musicological Society (Vancouver), the annual conference “Music and the Moving Image” (New York), the Ohio State University, and the Université de Montréal.
2. Porcile, Présence de la musique, 261: “Arthur Honegger semble avoir laissé de sa production pour le film une impression fausse. Car ce ne sont pas les commentaires épiques des Misérables ou de Mermoz, si prisés des critiques musicaux, qui passeront l'épreuve du temps, mais plutôt des partitions discrètes, intelligentes et méconnues, comme celles de l'Idée et de Rapt.” Unless otherwise noted, translations are my own.
3. The two articles, “Du cinéma sonore à la musique réelle” and “Pour prendre congé,” first published in the journal Plans in January and July 1931 respectively, are reprinted in Honegger, Écrits, 105–16.
4. This despite Pacific 231's origins in the music Honegger had written several months earlier for Abel Gance's silent film La roue (The wheel), the protagonist of which is a train engineer. In the surviving music for the film, Honegger wrote the words “locomotive” and “rail” above passages reminiscent of the later symphonic score. See Halbreich, Arthur Honegger, 429–32.
5. Honegger, Écrits (“Pour prendre congé”), 113: “Si l'art musical devait avoir pour but une espèce de photographie des sons, il ne se justifierait pas. Cette sorte de reportage sonore, par ailleurs si émouvant et si riche en avenir, est du domaine de la T.S.F. et en partie du cinéma, plus que de celui du compositeur. Ce que je voudrais exprimer, c'est non pas la réalité sonore d'un spectacle, d'une machine ou d'un drame humain, mais sa signification spirituelle dans le mode artistique qui est le mien.”