1. Parmi ces ébauches d’écriture, citons, par ex., la tentative d’ÉricBrian, dans le numéro spécial «Actualité et épistémologie» de laRevue de synthèse, 4e S.,1, janv.–mars 1998, p. 3–8.;ID. d’ÉricBrian, «Action et abstraction», inDes sciences et des techniques. Un débat, dir. RogerGuesnerie et FrançoisHartog, Paris, Éd de l’École des hautes études en sciences sociales (Cahiers desAnnales), 1998, p. 39–54;Id. RogerGuesnerie et FrançoisHartog, «Le livre des sciences est-il écrit dans la langue des historiens?», inLes Formes de l’expérience, dir. BernardLepetit, Paris, Albin Michel, Flammarion, 1999.
2. Cf. le témoignage de ClaudeCohen-Tannoudji, inHommes de science. 28 portraits, éd. MarianSchmidt, Paris, Hermann, 1990, p. 67.
3. GastonBachelard,Lautrémont, Paris, José Corti, 1939, p. 39.
4. Sur ce que cette promesse emporte de la pratique et de la théorie philosophiques de latraduction, voir CharlesAlunni, «La langue en partage»,Revue de métaphysique et de morale, 1, 1989 p. 59–69.