1. G. Breit:Proceedings of the 4 annual Rochester Conference oli High Energy Nuclear Physics (1954), p. 19.
2. A. Garren:Phys. Rev.,92, 213 and 1587 (1953).
3. C. L. Oxley etR. D. Schamberger:Phys. Rev.,85, 416 (1952);C. L. Oxley, W. F. Cartwright, J. Rouvina, E. Baskir, D. Klein etW. Skillman:Phys. Rev.,91, 419 (1953).
4. R. M. Thaler etJ. Bengston:Phys. Rev.,94, 679 (1954).
5. Au delà de 400 MeV la situation parait à l’heure actuelle confuse, SelonR. B. Sutton, T. H. Fields, J. G. Fox, J. A. Kane, W. E. Mott etR. A. Stallwood:Phys. Rev.,95, 663 (1953),σ(θ) mesuré à 437 MeV s’élèverait d’environ 20% en passant de 90° à 17° (système barycentrique), alors queJ. Marshall, L. Marshall etV. A. Nedzel: (Phys. Rev.,92, 834 (1953)) ont au contraire observé à 429 MeV une section efficace différentielle au comportement usuel.